Myopathie stéroïdienne

En 1932, Chushing a observé pour la première fois que les corticostéroïdes peuvent provoquer une atrophie musculaire et une faiblesse musculaire, et a proposé le concept de myopathie stéroïdienne. Cette maladie est également connue sous le nom de polymyopathie corticostéroïde. Parce que les hormones stéroïdes sont largement utilisées en clinique, la myopathie stéroïdienne n'est pas rare. La myopathie stéroïdienne peut être divisée en deux types, aiguë et chronique. La myopathie stéroïdienne chronique est plus fréquente et son apparition est insidieuse.La principale manifestation est la faiblesse du muscle pelvien, qui progresse progressivement, affectant le muscle scapulaire et les muscles proximaux des extrémités. Les symptômes de faiblesse musculaire subjective sont souvent plus lourds que les tests de force musculaire objectifs. La myalgie est courante et disparaît après la réduction des stéroïdes, ce qui suggère que la myalgie est l'un des symptômes de la myopathie stéroïdienne.

Le contenu de ce site est destiné à être utilisé à des fins d'information générale et ne constitue en aucun cas un avis médical, un diagnostic probable ou un traitement recommandé.

Cet article vous a‑t‑il été utile ? Merci pour les commentaires. Merci pour les commentaires.